Eppur si muove

Twix White :

Il existe un racisme ambiant au niveau des barres chocolatées, et Twix a enfin décider de lutter contre ce fléau infâme.

Donc Twix, « deux doigts coupes faim », sort enfin de l'apartheid en nous offrant des Twix Whites, que je traduirais pas « JumeX Blanc » (Twins signifie Jumeaux en anglais). Ils existent déjà en Australie, et arrivent donc chez nous en « édition limitée ».

Je vous passe les possibilités de jeux de mots et réflexions sexuelles quant à la couleur des susdits « doigt », ni sur le fait qu’à l'instar de Bio/bashfr/Grosquick les Twix ne sont rien de plus que des Raiders.

Alors bon, ça change quoi que le Twix soit blanc ? Bah pas grande chose, la majorité du gout du Twix est porté par le caramel et le gâteau en lui même, alors l'enrobage n'a pas de véritable influence. Alors oui, lors de la mise en bouche, le gout qui parvient à votre cerveau est du chocolat blanc et pas noir. Si vous sucez sensuellement le Twix (ou les deux Twix si vous êtes très cochon(e)), vous sentirez bien le côté blanc de l'affaire. Mais une fois dans la phase de mastication, vous mangerez un Twix tout a fait standard (donc bon quand même, à 500 kcal/100 g tout est bon !).

Par contre, il y a aussi un effet « Limited édition », un côté très luxe, la sensation de manger un produit exceptionnel que votre voisin n'a pas (un peu comme le papier toilette noir...). J'ai donc testé la puissance sociale de ce Twix, en en mangeant une paire en Amphi !

L'effet fut probant ! Les filles me regardaient bave aux lèvres en me montrant leurs seins, dans l'espoir que je leurs mette un doigt blanc dans la bouche. Et les garçons me regardaient, l'air noir ( à l'inverse du Twix) et jaloux !

Bon techniquement non... les gens ont dit « tiens c'est marrant », mais personne n'en a voulu\(è_é)/

Conclusion :

• Les + : C'est bon comme du Twix, c'est blanc, ça te donne la sensation de manger quelque chose d'exceptionnel (Yeah !), c'est une bombe calorique

• Les — : C'est comme les Twix, c'est blanc, c'est une bombe calorique !

Le Dizzy :

Alors le __Dizzy__ c'est du Yop Pétillant, en anglais Dizzy veut dire : étourdi. « I feel Dizzy » moi je traduirais ça par « je me me sens pas bien là, j'irais bien vomir un coup », mais bon, mes connotations linguistiques ne sont pas très sûres. Dans tous les cas, pour moi, le nom de cette boisson est connoté négativement.

Alors, à l'instar du Twix White le réel intérêt de ce machin c'est l'innovation et l'image ! Les gens aiment les Yahourts à boire, ils aiment les boissons gazeuses. Personne n'a encore fait les deux ? Let' s go ! Mélangeons ! Et mettons le tout dans une belle bouteille en alu façon Coca Blcak. C'est t'y pas « in dans le move » tout ça ?

Alors techniquement donc, on affaire à une bouteille en aluminium violette, au contact frais sur la main, et à la solidité rassurante (à l'inverse de la cannette classique). Et à l'intérieur, on a une sorte de mélange entre du Yop et de l'eau gazeuse. le résultat est, texturellement, entre les deux. Je m'attendais à la texture épaisse et crémeuse du yop ... non ! C'est plus liquide, c'est du lait pétillant sucré avec vaguement un gout de fruit.

Moi j'ai trouvé ça pas terrible, limite même un peu écoeurant. Un peu comme si on avait coupé du Yop avec de l'eau... gazeuse... bah merde alors, c'est la définition même du truc !

MAIS... une fois de plus c'est la grande classe : quand tu sors la bouteille sur ta table, instantanément des hordes de jeunes filles t'enverront leurs soutiens gorges à la figure ! Le côté « tiens j'ai jamais vu ça » est indéniable ! Et puis ça donne une impression d'exclusivité et de luxe... j'en offrirai à ceux qui ont du papier toilette noir chez eux ^^

Je tempère un peu mon avis sur le gout, contrairement aux Twix, une copine a bien voulu gouter (une seule hein... quel succès, je vous le disais) et elle a dit « bah, c'est pas mal quand même ». Ce qui prouve une fois de plus la profonde subjectivité qui existe entre les humains. Une simple bouteille de yop permet d'ouvrir son esprit à de nouv... ... ... Pardons je m'égare.

Conclusion :

• Les + : C'est la grande classe, avec une bouteille de Dizzy tu as plus de charisme que James Bond et Yoda réunis. L'aluminium reste bien froid, peut être pratique pour se mettre dans le cou.

• Les — : Moi j'ai pas trouvé ça bon, on ne peut pas se servir de la bouteille comme arme projetant le bouchon par pression (contrairement à la bouteille de yop classique ^^ )

Dark Forces :

Haaaaa ! Dark Forces, les premières aventures de Kyle Katarn, le premier épisode de la série des Jedi Knight ! Je l'ai eu en 1996 en crois, il était vendu avec un lecteur CD avec Full Throttle, Indiana Jones Fates of Atlantis et Rebel Assault. À l'époque, les packagings de lecteurs CD ce n’était pas de la gnognote ! Que des merveilles !

Alors, Dark Forces, c'est un FPS, encore qu’à l'époque, on disait « doom like». Ça se joue entièrement au clavier, le contrôle à la souris c'était pas encore ça ^^. Dans ce magnifique jeu, on suit les aventures palpitantes de Kyle Katarn, un mercenaire au service de l'alliance dont le charisme ferait frémir d'envie même le capitaine Solo. Après avoir volé les plans de l'étoile noire pour la princesse Leia, Kyle va devoir empêcher la mise en circulation d'un nouveau type de StormTroopers, les DarkTroopers. Pour cela, il serait brieffer par Mon Mothma, aidé par Ian Ors, et il aura dans les poignes une multitude d'armes plus ou moins violentes et autres détonateurs thermiques divers ! Attention ! Même s’il s'agit là du premier épisode des Jedi Knight, Kyle ne le sait pas ! Pas de force, pas de sabre laser, pas de Jedi ! Que des bons vieux blasters des familles !

Bon, dans le jeu, la force, il n'y en a pas. Mais en dehors par contre, la force a intérêt à être avec vous ! Dark Forces a 15 ans, et il y a 15 ans les jeux étaient un chouia plus difficile qu’aujourd'hui. C'est le cas de Dark Forces, certains niveaux ont un level design tel que, sans recourir à la map (ou à la force), vous ne vous en sortirez pas ! Car contrairement à ses prédécesseurs, Dark Forces innove : il y a différents étages, des assenceurs, des ravins... ect ! Il est même possible de regarder vers le haut ou vers le bas (ça a l'air de rien, mais c'était nouveau !).

Autre chose qui a son importance, les graphismes. Moi je ne peux pas m'empêcher de le trouver beau, à la même époque je jouais à Xwing (5 disquettes de bonheurs), et il faut reconnaitre que Dark Forces est beaucoup plus beau ! Les textures rendent bien (bah, déjà... il y a des textures, contrairement à XWing ^^ ), même encore aujourd'hui (même si bon... y a du pixel hein...), les sprites des ennemies sont bien faits et le tout dégage une ambiance « Star Wars» absolument délectable !

Mais je sais que, chez les jeunes joueurs notamment, qui n'ont pas connus les premiers pas de la 3 D, ces graphismes d'un autre age peuvent être rebutant. Surtout que la résolution VGA, 640*480 en 256 couleurs, sur un écran LCD 22", c'est bizarre...

La musique, imuse' s style, me rappelle tous les jeux de l'époque (les sus cités Indiana Jones, xwing etc.), mais c'est pareil, pour le joueur « neuf » ces sonorités qui pouvaient être joué sur le HP interne du PC vont sembler primitives

Autre difficulté : Réussir à y jouer !

C'est un jeu DOS, donc n'espérer pas le faire fonctionner sous Vista ou Seven. Heuresmeent il existe de très bon logiciels d'émulation de machine sous DOS, moi j'utilise DOSbox, et ça marche très bien !

Conclusion :

• Les + : Du vrai Star Wars, un vrai Héro, il est beau ! (mais si, mais si !), un gameplay redoutable, un vrai challenge, le plaisir de jouer à un mythe !

• Les — : Level design parfois labyrintesque, les graphismes et la musique rebuteront les plus jeunes !